Emeline Bequart
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Nous vous déconseillons de cette école pour la raison suivante :
Notre enfant de 3 ans et 2 mois a été renvoyé après une scolarisation de novembre à décembre.
A son arrivé, il a vécu une régression sur la propreté à l'éveil, probablement causé par l'attrait de la nouveauté de l'école.
Cela a causé quelques soucis avec la maitresse et c'est ainsi que nous avons appris qu'ils ne gardent pas les enfants qui ne sont pas propres à la sieste et qui ont besoin de dormir.
On nous a donc proposé de ne le scolariser que le matin (sans diminution des frais de scolarité), ce qui n'était que partiellement faisable pour nous et il a donc fait 2 après-midi sur les 4.
Nous avons donc essayé qu'il ne fasse pas de sieste mais apparemment, notre enfant était de ce fait un peu difficile car il frappait les autres avec son doudou et faisait des crises de frustrations.
Nous avons appris le jour du renvoi que la maitresse le disait ingérable, malheureusement je trouve qu'elle manque de franchise et de maturité.
En résumé, impossibilité pour la maîtresse de gérer cet enfant de 3 ans donc on le dégage.
Pendant ces deux mois, il s'est mis une pression énorme sur la propreté, lui créant des angoisses, à son âge. En plus, il se sentait traité différemment des autres. Et ça on le ressentait.
Il est aujourd'hui dans une école publique et tout se passe bien. On a retrouvé de la sérénité et lui aussi. Il y dort avec une couche.
Tout les soucis qu'on lui mettait sur le dos ont disparus comme par magie. Il ne frappe plus, ne s'énerve plus. Et même à la maison on a un petit garçon beaucoup plus vivant.
Vous payez pour qu'il soit bien accompagné mais si vous avez le moindre soucis, votre enfant n'aura plus sa place dans cette école.
Je regrette de l'avoir inscris dans cette école qui était en train de le détruire plutôt que de l'aider à s'épanouir.
Réponse :
Nous ne sommes certes pas anonyme, mais il aurait été respectueux de ne pas nommer notre enfant.
En effet, c’était une bonne idée de terminer la scolarité de notre enfant, nous sommes d’accord.
J’espère que vous avez passé le mot à tout le monde sur le caractère strict de la propreté, car comme nous vous l’avons dit poliment, aucun des parents à qui nous parlions n'étaient conscients que la sieste était un tel problème.
Je comprends que vous deviez vous défendre mais dire que nous avons toujours été virulents est un énorme mensonge, nous avons préinscrit notre enfant alors qu’il n’avait que 1an et demi car nous placions de grands espoirs en cette école, avons assisté à toutes les réunions, avons vu les professionnels recommandés par vous et avons accepté votre propositions de demi-journée sans débattre par peur que notre enfant soit renvoyé, plutôt carpette que virulents je pense.
En effet, nous avons eu deux rendez-vous (multiple est un grand mot), l’un pour nous demander de le reprendre l’après-midi et un autre pour dire que notre fils est un cas difficile (mais ça se passe bien dans sa nouvelle école).
Jamais respectés est encore un grand mot, nous avons en effet demandé poliment à la maîtresse si elle pouvait le garder plus d’après-midi que convenu lors de la dernière semaine d'école, ce qu’elle a accepté et c’est d'ailleurs cela qui a brisé le cercle de confiance dont vous parlez, comment faire confiance à quelqu’un qui vous dit oui alors qu'elle ne veut/peut pas, et qui pouvait tout simplement refuser donc aucune raison de douter de sa bonne foi ?
Les problèmes des autres ne doivent pas impacter son travail.
C’est une preuve d’un manque de maturité et de posture professionnelle et j’espère pour elle qu’elle va apprendre de cette erreur.
Et nous avions entièrement confiance de laisser notre fils à votre école avant d’apprendre tout ça… (et nous l’avons appris le jour du renvoi)
Donc personne ne peut remettre votre façon de faire en cause ? Je pense que ce n’est pas compatible avec l’idée de discussion qui est prônée par l’école, remettre en cause c’est discuter afin de trouver la meilleure solution ensemble si celle-ci semble mauvaise par l’autre partie.
Bonne continuation à vous.
